https://www.canadian-nurse.com/blogs/cn-content/2025/05/20/evidence-based-best-practices-prevent-suicide
Tous les patients doivent se sentir en sécurité lors de la divulgation de leurs pensées suicidaires et de la discussion sur le traitement à préconiser
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L’intégration efficace des stratégies de prévention du suicide exige que la discussion entourant le suicide ne soit pas reléguée à des domaines précis de la santé mentale. Les infirmières et infirmiers ont besoin d’une formation complète pour évaluer le risque suicidaire dans tous les contextes de soins, qu’il s’agisse de soins primaires, de salles d’urgence, de services médicaux d’hospitalisation ou d’établissements de soins de longue durée.
Messages à retenir
- Le suicide est une cause majeure de décès prématuré et comprend l’interaction d’un large éventail de facteurs de risque comme l’âge, l’identité de genre, la détérioration de la santé, la perte importante ou l’absence de soutien social et les difficultés financières.
- Les recherches indiquent que le suicide n’est pas prévisible ou évitable de façon fiable, d’où l’importance particulière de suivre les principes de l’évaluation de la prise en charge du risque suicidaire afin de fournir les meilleurs soins possibles.
- Le personnel infirmier est essentiel pour transformer la démarche en ce qui concerne le suicide au moyen de pratiques fondées sur des données probantes et des soins centrés sur les patients pour réduire la stigmatisation, encourager à en faire plus et promouvoir une démarche concertée fondée sur les forces qui apporte de l’espoir et mène à de meilleurs résultats.
Les infirmières et infirmiers du Canada ont le pouvoir d’opérer des changements importants dans le système de soins de santé afin de veiller à ce que les personnes se sentent en sécurité lors de la divulgation de leurs pensées suicidaires et qu’elles sont disposées à discuter des stratégies à mettre en œuvre pour faire face à leur suicidalité.
Gracieuseté de Michelle Danda
« Faisant partie du groupe comptant le plus grand nombre de fournisseurs de soins de santé au Canada, les infirmières et infirmiers ont un rôle clé à jouer dans la déstigmatisation du suicide, la promotion de la justice sociale et la mise en œuvre d’outils normalisés fondés sur des données probantes, l’amélioration de la qualité et la recherche », explique Michelle Danda.
Les membres du personnel infirmier sont aussi bien placés pour aborder la prévention du suicide sous l’angle de la santé de la population, en explorant les facteurs socio-économiques et les déterminants sociaux de la santé, afin de perpétuer une perspective de justice sociale à travers laquelle ils peuvent plaider en faveur du changement.
Le suicide est l’une des causes principales de décès au Canada, faisant 12 victimes par jour. C’est la principale cause de décès chez les jeunes adultes de 15 à 34 ans, ce qui souligne l’importance de l’aborder à la fois comme un enjeu de santé publique et un problème social (Gouvernement du Canada, 2021; Commission de la santé mentale du Canada, 2024; Agence de la santé publique du Canada, 2022).
Les répercussions du suicide touchent divers groupes au Canada et transcendent l’âge, l’ethnicité et le genre, et affectent de manière disproportionnée certains groupes marginalisés, notamment les personnes autochtones, noires et de couleur (PANDC), 2SLGBTQ+ et les personnes âgées (Agence de la santé publique du Canada, 2023; Williams et coll., 2022).
Le Canada dispose d’un cadre national pour la prévention du suicide dans lequel les infirmières et infirmiers peuvent jouer un rôle intégral pour en assurer la mise en application dans la prise en charge des patients et la réduction des décès par suicide. En 2019, l’Association des infirmières et infirmiers du Canada (AIIC) a approuvé le Plan d’action national pour la prévention du suicide (2024-2027). L’objectif de ces documents est de promouvoir la vie et faire connaître les résultats de la recherche en matière de prévention du suicide. La structure du cadre, en particulier, vise à faciliter la coordination fédérale dans le continuum de la prévention du suicide et de la promotion de la vie.
Faisant partie du groupe comptant le plus grand nombre de fournisseurs de soins de santé au Canada, les infirmières et infirmiers ont un rôle clé à jouer dans la déstigmatisation du suicide, la promotion de la justice sociale et la mise en œuvre d’outils normalisés fondés sur des données probantes, l’amélioration de la qualité et la recherche.
Déstigmatisation et justice sociale
L’évaluation du risque suicidaire est une compétence de base pour le personnel infirmier dans tous les domaines de soins, car le suicide touche des personnes de tous les horizons, des jeunes aux personnes âgées, des zones urbaines aux zones rurales. Pour acquérir des compétences et des aptitudes en matière de dépistage et de prise en charge du risque suicidaire, les infirmières et infirmiers doivent être à l’aise de parler de suicide. On doit commencer par enseigner aux étudiantes et étudiants en soins infirmiers à poser des questions sur le suicide, qui est une compétence infirmière essentielle.
Les compétences en santé mentale et en toxicomanie de l’Association canadienne des écoles de sciences infirmières (ACESI) pour accéder à la pratique dans le cadre de la formation de premier cycle en sciences infirmières comprennent la capacité à identifier l’état émotionnel, cognitif et comportemental de la clientèle, y compris le potentiel suicidaire.
L’intégration efficace des stratégies de prévention du suicide exige que la discussion entourant le suicide ne soit pas reléguée à des domaines précis de la santé mentale. Les infirmières et infirmiers ont besoin d’une formation complète pour évaluer le risque suicidaire dans tous les contextes de soins, qu’il s’agisse de soins primaires, de salles d’urgence, de services médicaux d’hospitalisation ou d’établissements de soins de longue durée.
Les étudiantes et étudiants en sciences infirmières devraient également recevoir une formation sur le suicide dans le cadre de leur programme d’études sur la santé mentale afin d’avoir une bonne préparation. Normaliser les conversations sur le suicide permet au personnel infirmier d’assumer son rôle dans la déstigmatisation de cet enjeu souvent anxiogène. Le pouvoir de la déstigmatisation peut améliorer l’accès aux soins et l’équité des soins, en apportant un soutien optimal aux personnes qui pourraient autrement souffrir en silence.
Les infirmières et infirmiers travaillent dans tout le continuum des soins de santé, des contextes de santé publique et de soins primaires communautaires, en passant par les hôpitaux de soins actifs et tertiaires. À la faculté des sciences infirmières, nous commençons à acquérir des compétences en matière d’évaluation et d’intervention auprès des patients traversant des crises de santé mentale, y compris le risque suicidaire, souvent dans le cadre d’un stage clinique en santé mentale. Toutefois, ces compétences sont nécessaires dans tous les domaines de soins où nous interagissons avec des patients susceptibles d’avoir des pensées suicidaires, y compris les soins primaires et les domaines dans lesquels les patients peuvent recevoir des diagnostics qui changent leur vie, comme les soins oncologiques.
Les infirmières et infirmiers en santé mentale qui travaillent dans des services spécialisés doivent posséder des compétences plus poussées en matière de prévention du suicide, en raison des nuances que démontrent les patients qui se présentent volontairement à un service parce qu’ils sont conscients de leurs problèmes de santé mentale ou qui sont admis à l’hôpital en vertu de la loi sur la santé mentale de leur province ou territoire. Ces patients nécessitent une attention particulière en raison du risque suicidaire imminent, ou parce qu’ils ont déjà tenté de se suicider.
La population qui n’est pas prise en compte est la patientèle qui accède à des services autres que ceux de santé mentale ou d’urgence, par exemple en médecine générale ou en oncologie. Bien qu’il existe des preuves d’une meilleure prise de conscience de l’incidence de la santé mentale sur les personnes ayant reçu un diagnostic de maladies qui changent la vie, comme le cancer, ou sur les patientes qui risquent de souffrir d’une dépression post-partum, on note que le personnel infirmier n’est pas suffisamment à l’aise pour poser des questions difficiles (McInnes et coll., 2022).
Mise en œuvre d’une pratique fondée sur des données probantes : outils normalisés, évaluation et planification des soins
Les infirmières et infirmiers figurent parmi le personnel clinicien comptant le plus de membres dans le système de soins de santé, passent le plus de temps en contact avec les patients et sont donc une excellente ressource pour poser des questions sur les idées suicidaires. En effet, le personnel infirmier est tenu d’intégrer les données probantes relatives au suicide dans sa pratique quotidienne.
L’évaluation du risque suicidaire est utile à tous les niveaux de contact avec les patients dans l’ensemble du système de santé, bien qu’un outil ne soit pas plus efficace qu’un autre (Ryan et Oquendo, 2020; Saab et coll., 2022). Il peut être utile d’intégrer des outils normalisés et des attentes claires de la part du personnel clinicien dans les politiques et les lignes directrices des hôpitaux et des autorités sanitaires pour normaliser l’utilisation de ces outils dans l’ensemble du continuum des soins.
L’évaluation du risque suicidaire peut susciter de l’anxiété et de l’inconfort chez le personnel clinicien, ce qui l’amène à éviter de poser des questions approfondies sur les pensées et les comportements suicidaires (Hawton et coll., 2022). Il est donc nécessaire d’améliorer le niveau d’aise du personnel clinicien et son interprétation de l’intégration de l’évaluation du risque suicidaire dans la pratique.
Des outils normalisés peuvent être utiles pour structurer les évaluations et favoriser une documentation et une communication claires avec l’équipe soignante. Les évaluations structurées peuvent également contribuer à la planification des soins en collaboration.
En mettant en application les outils normalisés, les infirmières et infirmiers doivent comprendre l’ampleur du risque suicidaire et la communiquer à l’équipe soignante. Les facteurs qui déclenchent les idées suicidaires sont complexes et dynamiques, car ils comprennent des concepts élargis, tels que les déterminants sociaux de la santé (Pirkis et coll., 2023).
La réponse ne réside pas dans l’application uniforme d’outils ou d’évaluations; mais plutôt dans une démarche nuancée qui s’appuie sur une démarche fondamentale, relationnelle et bienveillante des soins infirmiers. Une communication claire avec les patients et les équipes soignantes est essentielle pour uniformiser une démarche à tous les niveaux des soins de santé et l’intégrer de façon efficace.
Les infirmières et infirmiers jouent un rôle important dans l’établissement de relations thérapeutiques et de confiance avec les patients et leurs familles afin de favoriser une démarche différente de celle de la médecine traditionnelle, qui tente de prédire le risque suicidaire et de contrôler les facteurs pour les atténuer.
Amélioration de la qualité et recherche : passage à une démarche relationnelle
Le personnel infirmier aborde la prestation des soins de santé avec compassion, attention, engagement, confiance et compétence. Habituellement, la prévention du suicide dans la pratique psychiatrique repose sur des efforts visant à prédire et à prendre en charge le risque chez les patients (Hawton et coll., 2022; Kessler et coll., 2020; Woodford et coll., 2019).
Les lignes directrices nationales récemment actualisées en Norvège ont fait l’objet de critiques parce qu’elles s’appuient sur l’évaluation normalisée des risques au lieu d’adopter une démarche relationnelle, fondée sur les points forts, sensible sur le plan culturel et axée sur la justice (Espeland et coll., 2021). De plus en plus de données démontrent les limites de la prévision du risque suicidaire, indiquant la nécessité de se concentrer sur des démarches thérapeutiques de l’évaluation et de la prise en charge du risque (Hawton et coll., 2022; Saab et coll., 2022).
Les infirmières et infirmiers ont le savoir-faire nécessaire pour adopter cette démarche nuancée de l’intervention contre le suicide et de son traitement en raison de la perspective infirmière. Pour intégrer efficacement cette démarche, le personnel infirmier peut établir des relations thérapeutiques solides, procéder à des évaluations complètes, renseigner les patients et leur famille, collaborer avec des équipes interprofessionnelles, plaider en faveur d’améliorations systémiques et intégrer des pratiques fondées sur des données probantes.
Le principal facteur pour mener l’évaluation des risques consiste à l’intégrer au dossier médical du patient, y compris la stratification du risque comme étant faible, moyenne ou élevée, afin d’éviter les poursuites judiciaires en cas de résultats négatifs (Hawton et coll., 2022). L’examen des données montre que de nombreuses personnes qui meurent par suicide avaient eu un contact récent avec leur fournisseur de soins de santé et bon nombre d’entre elles ont nié avoir des pensées suicidaires lorsque les membres du personnel clinicien leur ont posé la question avant leur décès (Hawton et coll., 2022). Cette constatation souligne la nécessité d’améliorer la qualité des interactions entre le personnel clinicien et la patientèle, car le fait de s’appuyer uniquement sur des évaluations discrètes du risque ne permet pas de saisir la nature dynamique et individualisée des patients, ni la variabilité de l’expertise clinique et des contraintes liées au contexte de soins (Barzilay et coll., 2020; Hawton et coll., 2022).
Cependant, les quelques recherches axées sur l’expérience des patients en matière d’évaluation du risque suicidaire indiquent que les patients ne voient pas d’inconvénient à être interrogés sur le suicide, mais qu’ils trouvent les questions formulées et scénarisées inutiles et inauthentiques, ce qui laisse entendre que d’autres stratégies et pratiques peuvent être bénéfiques (Hawton et coll., 2022). Les membres du personnel infirmier passent le plus de temps avec les patients dans le continuum des soins et sont donc bien placés pour faire participer les patients et leur famille dans les projets d’amélioration de la qualité et la recherche concertée afin d’en savoir plus sur les stratégies de prévention et les interventions à l’intention des patients.
Le personnel infirmier à l’origine du changement en matière de prévention du suicide et d’intervention contre le suicide
Les infirmières et infirmiers occupent une place de premier plan quant à la prévention du suicide en raison de leur omniprésence dans les services de santé de tout le Canada. En tant que groupe comptant le plus grand nombre de fournisseurs de soins de santé au Canada, le personnel infirmier joue un rôle essentiel dans la déstigmatisation du suicide et la sensibilisation à la prévention du suicide et au traitement contre le suicide en tant que question de justice sociale. Les infirmières et infirmiers peuvent aussi mettre en pratique les outils normalisés fondés sur des données probantes et faire participer les fournisseurs de soins de santé et les patients dans l’amélioration continue de la qualité et la recherche afin d’améliorer la prestation des soins.
Voici des ressources publiques fondées sur des données probantes qui peuvent être utiles au personnel infirmier :
Références
Agence de la santé publique du Canada. Données sur le suicide au Canada (infographique), 22 décembre 2022. https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/publications/vie-saine/donees-suicide-canada-infographique.html
Agence de la santé publique du Canada. Suicide, blessures auto-infligées et comportements liés au suicide au Canada : Mortalité par suicide [Série de données; statistiques; formation et sensibilisation], Gouvernement du Canada, 14 novembre 2023. https://sante-infobase.canada.ca/sante-mentale/suicides-blessures-auto-infligees/mortalite-par-suicide.html
Barzilay, S., Schuck, A., Bloch‐Elkouby, S., Yaseen, Z.S., Hawes, M., Rosenfield, P., Foster, A. et Galynker, I. « Associations between clinicians’ emotional responses, therapeutic alliance, and patient suicidal ideation », Depression and Anxiety, 37(3), 2020, p. 214–223. https://doi.org/10.1002/da.22973
Commission de la santé mentale du Canada. Santé publique et suicide, Fiche d’information, 1er mars 2024. https://commissionsantementale.ca/wp-content/uploads/2022/03/Sante-publique-et-le-suicide.pdf
Espeland, K., Hjelmeland, H. et Loa Knizek, B. « A call for change from impersonal risk assessment to a relational approach: Professionals’ reflections on the national guidelines for suicide prevention in mental health care in Norway », International Journal of Qualitative Studies on Health and Well-Being, 16(1), 2021, p. 1868737. https://doi.org/10.1080/17482631.2020.1868737
Gouvernement du Canada. Les principales causes de décès, population totale, selon le groupe d’âge. Statistique Canada, 13 avril 2021. https://www150.statcan.gc.ca/t1/tbl1/fr/tv.action?pid=1310039401&request_locale=fr
Gouvernement du Canada. (2022). Travailler ensemble pour prévenir le suicide au Canada—Rapport d’étape 2022 sur le Cadre fédéral de prévention du suicide, Rapport d’étape. Ministère de la Santé. https://publications.gc.ca/collections/collection_2023/aspc-phac/HP32-10-2022-fra.pdf
Hawton, K., Lascelles, K., Pitman, A., Gilbert, S. et Silverman, M. « Assessment of suicide risk in mental health practice: Shifting from prediction to therapeutic assessment, formulation, and risk management », The Lancet Psychiatry, 9(11), 2022, p. 922–928. https://doi.org/10.1016/S2215-0366(22)00232-2
Kessler, R.C., Bossarte, R.M., Luedtke, A., Zaslavsky, A.M. et Zubizarreta, J.R. « Suicide prediction models: A critical review of recent research with recommendations for the way forward », Molecular Psychiatry, 25(1), 2020, p. 168–179. https://doi.org/10.1038/s41380-019-0531-0
McInnes, S., Halcomb, E., Ashley, C., Kean, A., Moxham, L. et Patterson, C. « An integrative review of primary health care nurses’ mental health knowledge gaps and learning needs », Collegian, 29(4), 2022, p. 540–548. https://doi.org/10.1016/j.colegn.2021.12.005
Pirkis, J., Gunnell, D., Hawton, K., Hetrick, S., Niederkrotenthaler, T., Sinyor, M., Yip, P.S.F. et Robinson, J. « A Public Health, Whole-of-Government Approach to National Suicide Prevention Strategies », Crisis, 44(2), 2023, p. 85–92. https://doi.org/10.1027/0227-5910/a000902
Ryan, E.P. et Oquendo, M.A. « Suicide risk assessment and prevention: Challenges and opportunities », Focus, 18(2), 2020, p. 88–99. https://doi.org/10.1176/appi.focus.20200011
Saab, M.M., Murphy, M., Meehan, E., Dillon, C.B., O’Connell, S., Hegarty, J., Heffernan, S., Greaney, S., Kilty, C., Goodwin, J., Hartigan, I., O’Brien, M., Chambers, D., Twomey, U. et O’Donovan, A. « Suicide and self-harm risk assessment: A systematic review of prospective research », Archives of Suicide Research, 26(4), 2022, p. 1645–1665. https://doi.org/10.1080/13811118.2021.1938321
Williams, M.T., Khanna Roy, A., MacIntyre, M.-P. et Faber, S. « The traumatizing impact of racism in Canadians of colour », Current Trauma Reports, 8(2), 2022, p. 17–34. https://doi.org/10.1007/s40719-022-00225-5
Woodford, R., Spittal, M.J., Milner, A., McGill, K., Kapur, N., Pirkis, J., Mitchell, A. et Carter, G. « Accuracy of clinician predictions of future self‐harm: A systematic review and meta‐analysis of predictive studies », Suicide and Life-Threatening Behavior, 49(1), 2019, p. 23–40. https://doi.org/10.1111/sltb.12395
Michelle Danda, inf. aut., Ph. D., CSPSM(C), a obtenu son diplôme du programme accéléré de baccalauréat en sciences infirmières de l’Université de Calgary en 2008. Elle vient d’obtenir son titre de Ph. D. dans le cadre du programme de doctorat en sciences infirmières de l’Université de l’Alberta. Elle est chef des initiatives de la pratique professionnelle à Vancouver, en Colombie-Britannique et exerce en soins infirmiers en santé mentale et en toxicomanie dans la vallée du bas Fraser, en Colombie-Britannique.
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